Le français des élèves québécois, pas pire qu’il y a 30 ans

Depuis le milieu des années 1980, le taux de réussite aux épreuves de français écrit, au secondaire comme au collégial, est demeuré sensiblement le même, explique la professeure de didactique à l’Université de Montréal Pascale Lefrançois au micro de Jean-Sébastien Bernatchez.
rdc
Bien que le taux de réussite des étudiants québécois est jugé satisfaisant par Mme Lefrançois, elle est d’avis que la situation pourrait être améliorée, et que, pour y arriver, il faudrait peut-être hausser la barre pour les élèves : « Si on était capable de rehausser un peu le seuil d’exigence, peut-être que le taux de réussite baisserait un peu, mais on pourrait s’assurer que la qualité de la langue augmente. »

Mais tout d’abord, allez consulter le montage d’archives de Radio-Canada que nous avons préparé pour vous à l’occasion de la Semaine nationale de la Francophonie et qui prouve que ce n’est pas d’hier qu’on se préoccupe de la qualité de la langue française parlée et écrite.

Voir l’article original sur le site de Radio-Canada et écouter les extrait audio